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Témoignage de l’alchimie entre les musiciens Majid Bekkas, Nguyên Lê et Hamid Drake, le dix-septième volume de Jazz At Berlin Philharmonic nous amène tranquillement de l’Afrique à l’Amérique du Nord.
Salif Keïta accepte enfin de réaliser un album basé sur le duo guitare voix, il livre peut-être avec So Kono sont disque le plus intime. En tout cas sûrement celui qui restera le plus à l’abri des modes.
Dans ce concert inédit, le Camerounais Manu Dibango, figure incontournable du groove et de la Word Musique de qualité, promène son saxophone sur des rythmes qui ont enflammé Marseille en 1982.
Second album du collectif Lamomali, Totem est un hommage à Toumani Diabaté, célèbre joueur de kora décédé avant sa sortie. Il est autant rempli de musique africaine que de musiciens de tous horizons.
Deuxième album de ce groupe qui s’inspire de l’âge d’or de la pop psychédélique turque, Aylar parvient à capter l’énergie et la fusion instrumentale que les Şatellites développent lors de leurs concerts.
La folk tranquille et éclectique de Piers Faccini est toujours pleine de rencontres et de mélanges réussit, c’est une nouvelle fois le cas avec la kora de Ballaké Sissoko sur l’album Our Calling.
Artiste inclassable à la spiritualité débordante, Masma Dream World revient avec Please Come To Me, un deuxième album en forme de communion, à la hauteur de ce que laissait augurer le précédent.
L’histoire de la musique enregistrée est parsemée de disques incontournables, c’est le cas de Getz/Gilberto qui réussi à être un triple standard : du jazz, de la bossa nova et chez les audiophiles.
Guitare à la main João Selva porte sa parole militante pleine de soleil. L’album Onda est rempli d’une multitude de musiques venues du Brésil et d’ailleurs, il voit la samba rencontrer le funk.
Traçant sa route depuis le début des années 80 avec une musique personnelle, entre musique du monde et jazz, Thierry Robin est un artiste important. Le Sable Et L’Écume le confirme une nouvelle fois.
Plus connus dans leur pays et ayant commencé à tourner à l’international en 2003, Baba Zula mélangent la tradition turque aux influences occidentales avec Istanbul Sokaklari, leur douzième album.
Venu du Ghana, K.O.G est bien sur un fier porte-parole de la musique de son pays mais ses inspirations vont bien au-delà, ce qui se ressent sur son très réussi nouvel album Don’t Take My Soul.
