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SENNHEISER HE1

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Au tout début des années 1990, Sennheiser, le grand constructeur allemand de casques et de microphones, présentait au public audiophile le plus averti une paire d’écouteurs exceptionnelle baptisée Orpheus. Pour cette réalisation, Sennheiser avait mis le paquet, et le staff complet de ses ingénieurs sur le projet. La direction avait clairement précisé que le prix n’était pas un problème. Résultat : un produit absolument exceptionnel qui fait encore rêver beaucoup d’amateurs éclairés.

Pour cette seconde génération, le constructeur allemand a encore décidé de jouer la carte « open bar ». Sublime jusque dans ses finitions, le système se compose d’un casque électrostatique et d’un amplificateur, tous deux conçus à partir de matériaux luxueux. Parmi les innovations techniques phares de ce produit d’exception, citons une réponse en fréquence supérieure aux limites de la perception humaine et le taux de distorsion harmonique le plus faible jamais mesuré pour un système de reproduction sonore. Pour Sennheiser, il ne fait aucun doute que le nouvel Orpheus est le meilleur casque audio.

Nous avons vécu une quinzaine de jours en compagnie de ce modèle le plus cher au monde. Passés les premiers moments de surprise et d’émerveillement, après avoir pleinement analysé la performance technologique et le défi mécanique représenté par une telle réalisation, une question nous taraude : le HE1 est-il digne de sa réputation ? Pour la réponse, suivez le guide.

sennheiser hve1 amplificateur à tubes classe a

Voilà 70 ans que Sennheiser fait figure de pionnier des technologies audio et définit les standards d’excellence du secteur, affirme Daniel Sennheiser, PDG de Sennheiser. Le nouvel Orpheus témoigne de notre capacité à repousser toujours plus loin les limites et à redessiner l’avenir de l’industrie audio. »

Voilà à peu près comment est né le projet HE 1 ! Il fallait bien offrir un digne successeur au légendaire Orpheus, un modèle inédit qui ferait de nouveau référence sur le marché. Car inévitablement, pendant toutes ces années, la concurrence n’est pas restée inactive. Si l’on ajoute à cela que le domaine du casque audio est de loin le plus dynamique depuis plus de dix ans en termes de croissance et de créativité, vous aurez compris que le géant allemand ne pouvait pas rester tranquillement assis sur son trône.

Pour parvenir à ses fins, Sennheiser a travaillé à l’élaboration de techniques novatrices, remettant sans cesse en question ses précédentes approches acoustiques et sélectionnant méticuleusement chaque matériau jusqu’à obtenir le meilleur résultat. Près d’une dizaine d’années ont été nécessaires à l’équipe de développeurs, d’ingénieurs et de designers pour concevoir ce casque aux performances superlatives.

Une grande créativité technologique

Dans les grandes lignes, les choix techniques ont été validés assez tôt. Électrostatique pour le casque bien sûr, mais pour l’amplificateur, cela n’était pas aussi simple… En effet, en plus de 20 ans, les circuits d’amplification ont considérablement progressé. Sennheiser a donc décidé de développer un schéma totalement original. Son tour de force repose sur un concept d’amplificateur inédit, qui associe la qualité de traitement des signaux impulsionnels d’un amplificateur à tubes au faible taux de distorsion d’un amplificateur à transistors de toute dernière génération. Les signaux entrants sont ainsi traités par huit tubes.

« Les amplificateurs à lampes offrent de meilleures performances de traitement des signaux impulsionnels, explique Axel Grell, chef de produit audiophile chez Sennheiser. Mais ils sont sensibles aux bruits ambiants. »

Sennheiser a donc imaginé un châssis en marbre de Carrare, un matériau sélectionné pour sa granularité et sa structure hétérogène, qu’il a positionné en suspension sur l’amplificateur. La désolidarisation des tubes et l’absorption des vibrations par le marbre minimisent la propagation du bruit. Chaque tube est également isolé des bruits ambiants par un tube de protection en verre de silice.

L’étage d’amplification à tubes est lié à un étage d’amplification breveté à réponse impulsionnelle ultra élevée directement intégré aux oreillettes du casque. Selon Sennheiser, ce système garantit des performances à 200 % supérieures à celles des solutions concurrentes. « Dans un système électrostatique, les pertes de puissance d’amplification sur le câble entre le casque et l’amplificateur à tubes sont fréquentes. Généralement, 1/3 seulement de la puissance de départ sert véritablement à produire les ondes sonores, précise Axel Grell. Nous avons donc amplifié la tension alternative, non pas à l’entrée du câble mais là où elle est véritablement nécessaire, à savoir directement au niveau des électrodes en céramique pulvérisée d’or, qui sont intégrées au casque. » Cette configuration réduit considérablement la distance entre l’amplificateur et les membranes à moins d’1 cm. Le courant nominal est ainsi nettement limité, ce qui diminue la puissance nécessaire à l’inversion de charge. Les signaux audio sont transmis de manière symétrique à l’amplificateur haute tension intégré au casque, à une tension d’environ 5 V seulement. Cette configuration garantit une réponse impulsionnelle d’une extrême fidélité, malgré une puissance de signal relativement faible. À l’instar des lampes d’un amplificateur à lampes, les transistors Mos-Fet du système ont une courbe caractéristique non linéaire qui prévient les distorsions, fréquentes dans les amplificateurs à transistors bipolaires.  

tubes se802s transistors mosfet sennheiser hve1

Le nouvel amplificateur se positionne dans la classe baptisée Cool A par Sennheiser. Celle-ci garantit une puissance développée en pure classe A à tous les volumes dans la gamme des basses fréquences. Dans les gammes de moyennes et hautes fréquences, l’amplificateur bascule de la classe A à la classe AB classique. Ce basculement n’intervient toutefois qu’en présence d’un spectre inhabituellement large de fréquences.

« La classe Cool A est une véritable avancée. Elle permet une reproduction du signal audio sans distorsion ni surchauffe des composants du casque, indique Axel Grell. Nous avons dû réaliser des analyses de signal et d’écoute approfondies, ainsi que des tests rigoureux pour déterminer la juste puissance nécessaire à chaque niveau de fréquence pour atteindre un tel résultat. »

L’unité centrale est compatible avec un large éventail de sources audio analogiques et numériques, grâce à ses entrées symétriques et asymétriques. Elle convertit les signaux entrants asymétriques en signaux symétriques avant de les traiter. Des interfaces S/PDIF (optique et coaxiale) et USB permettent de connecter des sources audionumériques, dont les données seront converties en signaux analogiques par la puce ESS SABRE ES9018. Les huit DAC internes de la puce assurent la conversion des données audio en résolution 32 bits, avec une fréquence d’échantillonnage jusqu’à 384 kHz, ou les signaux DSD à 2,8 MHz et 5,6 MHz en signaux analogiques symétriques. Chaque canal stéréo fait appel à quatre DAC connectés en parallèle pour optimiser la réduction du bruit. Cette configuration permet une reproduction de l’ensemble du spectre de fréquence des sources audio de pointe sans distorsion. À noter que le circuit a été optimisé pour la conception entièrement symétrique de l’Orpheus.

pcb orpheus sennheiser hve1 casque he1

Une fabrication absolument exceptionnelle

L’Orpheus se compose de matériaux triés sur le volet pour maximiser la qualité audio du système. Ses quelque 6 000 composants ont été sélectionnés à l’issue d’une évaluation rigoureuse pour leurs caractéristiques acoustiques exceptionnelles et complémentaires. Tous concourent ainsi à la qualité audio hors pair du nouveau modèle. C’est notamment l’association d’électrodes en céramique pulvérisée d’or et de membranes pulvérisées de platine qui confère au casque ses performances acoustiques inégalées.

« Pour nos électrodes, nous recherchions un matériau ultra rigide, qui minimiserait les pics de distorsion dans la gamme de fréquence de 3 à 4 kHz », explique Axel Grell. Les ingénieurs ont opté pour la céramique, un matériau granulaire qui amortit bien plus efficacement les vibrations que le verre, par exemple. Mais la production de telles électrodes relève du tour de force, car la céramique est particulièrement difficile à graver et à percer. Sennheiser a donc utilisé un procédé sophistiqué de broyage et de pulvérisation. Une couche d’or a ensuite été déposée en phase vapeur pour en optimiser la conductivité électrique.

Le choix du matériau et du procédé a été tout aussi méticuleux pour le revêtement des membranes. Après une longue série de tests, l’équipe a opté pour le platine, également déposé en phase vapeur. Les membranes mesurent précisément 2,4 micromètres d’épaisseur, un format jugé optimal au regard du ratio épaisseur/masse volumique de l’air, pour contrôler les vibrations des membranes, d’après les résultats des tests approfondis des développeurs. « L’objectif n’était pas de concevoir la membrane la plus fine possible, mais d’identifier l’épaisseur qui nous fournirait le meilleur résultat », commente Axel Grell.

L’équipe de Sennheiser est allée jusqu’à concevoir et fabriquer elle-même les huit câbles hautes performances du système, composés de cuivre sans oxygène plaqué argent, qui garantissent une conductivité optimale, essentielle à la qualité de transmission des signaux audio. Une gaine en matériaux composites, aux structures hétérogènes, vient isoler les câbles des ondes sonores perturbatrices.   

amplificateur tubes sennheiser hve1 et casque he1

Un spectre sonore inégalé

Avec son transducteur unique, le nouvel Orpheus offre une réponse en fréquence de 8 Hz à plus de 100 kHz, supérieure aux limites de la perception humaine. Cette amplitude joue néanmoins sur l’expérience sonore en garantissant l’absence quasi-totale de distorsion du son transmis par le casque dans la gamme de fréquence perceptible. 

Le taux de distorsion harmonique du système atteint à peine 0,01 % à 1 kHz et 100 dB. Autrement dit, il restitue le son de la source audio avec une fidélité et un niveau de détail inégalés sur le marché. Sennheiser atteint ainsi un degré de pureté audio jamais égalé par aucun autre système de reproduction audio. Même les nuances les plus infimes deviennent audibles. « En réécoutant des titres que je pensais pourtant connaître parfaitement, j’ai pu percevoir des détails que je n’avais encore jamais entendus, déclare Axel Grell alors qu’il évoque sa propre expérience du nouvel Orpheus. J’ai été profondément bouleversé, et je suis convaincu que ce sera aussi le cas pour tous ceux qui testeront ou utiliseront ce système unique. Après tout, la musique est affaire d’émotions. »

L’utilisation

Nous avons eu la chance de profiter du système complet HE 1 dans notre auditorium. Cela nous a permis de tranquillement appréhender ce produit totalement hors normes. Nous avons ainsi pu l’utiliser dans un environnement que nous connaissons parfaitement, avec des sources et des câbles de référence, des produits statutaires qui sont largement au niveau de l’excellence du HE 1 : platine tourne-disques Linn LP 12 avec préampli Linn Linto, transport Atoll DR400se, convertisseur streamer Bricasti M21 et magnétophone numérique Nagra D II. Nous avions eu l’opportunité d’écouter le HEA dans de bonnes conditions aussi bien à Munich qu’à Paris, mais rien ne remplace une écoute longue à domicile. Afin d’optimiser au mieux l’appareil, nous l’avons installé sur un support Centaure et connecté avec un cordon secteur Esprit Lumina. Pour les liaisons analogiques et numériques, nous avons procédé à divers essais avec des références de chez Absolue Créations, Actinote, Esprit et JCT.

amplificateur tubes sennheiser hve1 et casque he1 open

Le son

Avant l’écoute, le HE 1 chauffe déjà la salle en assurant le spectacle. La vision des commandes en façade qui sortent lentement du châssis, des tubes qui s’échappent doucement du coffret et entament leur rougeoiement, en même temps que pivote la plaque qui recouvre le casque, tout cela participe au plaisir que suscite ce produit d’élite.

Mais bon, avouons-le, le plumage n’est rien si le ramage n’est pas au rendez-vous ! Prenez garde à laisser quelques minutes aux tubes pour arriver à maturité thermique, et c’est parti !

La première chose qui étonne, c’est la sensation de ne pas écouter un casque. Malgré presque 600 g sur la balance, les écouteurs ne pèsent pas sur la tête et se font complètement oublier. Un confort qui garantira de longues sessions d’écoute sans la moindre pression excessive sur les pavillons et sur les côtés du crâne. L’écoute au casque offre une sensation d’aération très agréable, qui, si elle est totalement différente de l’écoute avec des enceintes, possède ses points forts. Ici, ils semblent totalement décuplés. L’espace sonore reproduit est en effet d’une dimension relativement inédite. Lorsque vous écoutez un opéra, vous percevez non seulement les dimensions extrêmement précises de la pièce, mais également ses proportions en termes de hauteur, largeur et profondeur. Vient ensuite la perception très forte de l’ambiance qui règne sur la scène. Vous identifierez très facilement la place de chacun des interprètes, la manière dont ils évoluent, mais aussi l’individualité de chacun d’entre eux. Impossible d’être pénalisé par la confusion entre deux d’entre eux, car le niveau de focalisation du HE 1 est tout simplement unique en son genre. Précision et ampleur inégalées, certes, mais également structure et homogénéité dans le placement des différents plans sonores. Tout est net et sans la moindre approximation. Sur le plan des timbres, rien à dire, ou plutôt si : comment ont-ils fait ? Premier constat, le diaphragme unique chargé de reproduire toutes les fréquences des plus basses aux plus hautes était manifestement la très bonne option technique ! En effet, non seulement le spectre reproduit est immense, mais il est également d’une cohérence dingue. La notion d’écoute large bande n’a jamais aussi bien pris son sens. Cela, c’est très agréable de le constater, mais c’est techniquement un enfer à réaliser : une seule membrane pour tout couvrir, c’est comme un anneau pour les gouverner tous !

Les basses sont inattendues pour un casque : extrêmement profondes, très tendues et incroyablement puissantes. Elles sont dignes de certaines enceintes acoustiques, tant la pression sonore est importante. En parlant de cela, le niveau auquel on parvient à écouter en toute fluidité est rare pour un système basé sur des écouteurs circumauraux. Sur toute la bande de fréquence, c’est la notion de naturel qui prime. Aucun registre n’est mis en avant. Chacun est scrupuleusement organisé. L’aigu monte très haut avec une douceur désarmante. Et c’est d’autant plus agréable qu’avec ce modèle, on arrive vite à des niveaux d’écoute totalement indécents. Alors bien sûr, ce n’est pas du tout gênant pour vos voisins, mais cela peut être dangereux pour vos oreilles si le système n’est pas au top.

Ici, aucune inquiétude à avoir : la distorsion semble tout simplement avoir disparu. Dans la mesure où le signal est de bonne qualité, vous pourrez en jouir à votre guise et fantaisie, vous en repaître, aucune scorie ne viendra pénétrer vos conduits auditifs. Nous avons enchaîné les différents styles musicaux pendant de longues heures, profitant de cette occasion miraculeuse qui nous était donnée de jouir de cet appareil outrageusement cher à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Nous en avons bien profité, et nous devons avouer que lorsqu’il a fallu le remiser dans sa grosse caisse en bois, cela nous a laissé une sensation amère.

Vaut-il son prix ? Voilà une question à laquelle il est compliqué de répondre. C’est vraisemblablement l’un des trois ou quatre, voire le meilleur casque du marché. Mais bon, 60 000 € est une somme indécente. Cela risque également de devenir un objet de spéculation. Espérons qu’il ne devienne pas un marqueur social. En tout cas pour les CSP++++… Je suis convaincu que l’on doit pouvoir trouver une association exquise entre un très bon casque de marque concurrente et un remarquable amplificateur casque pour un prix au moins trois à quatre fois inférieur. Un homme comme Pierre Paya de Casques Headphones est passé maître dans ce genre d’assemblage subtil. Mais atteindra-t-on un tel degré de synergie de fonctionnement et un tel raffinement de fabrication ? Difficile !

amplificateur tubes sennheiser hve1 et casque he1 back

Notre conclusion

Concevoir des casques à la reproduction totalement fidèle a toujours été l’objectif de Sennheiser. Il y est parvenu en 1991 avec l’Orpheus, un modèle devenu une icône qui demeure pour certains le meilleur casque au monde jusqu’à aujourd’hui. Le HE 1 est un modèle encore plus sophistiqué, dont l’étude a été bien plus approfondie, et qui a vocation à supplanter nettement son prédécesseur. À notre avis, il y parvient sur la plupart des paramètres. La largeur du spectre sonore qu’il reproduit est plus importante. Il est capable de jouer bien plus fort avec un confort total. Enfin, c’est la première fois que nous entendons un casque dont le taux de distorsion est aussi faible, voire inexistant, si tant est que cela soit possible.

Le temps qui passe se fait cruel quand il s’agit de comparer deux produits dont la conception est distante de près de trente années, surtout sur le critère du numérique. Car les deux modèles embarquent un Dac. Il paraît donc relativement hasardeux de chercher à les comparer. Nous avons eu l’opportunité d’écouter les deux modèles. Et s’il est vrai que le premier Orpheus possède une signature sonore absolument extraordinaire et un grain tout particulier sur le registre médium, il faut reconnaître que son successeur va plus loin sur tous les critères. Ce qui ne retire rien au mérite et à la suprématie pendant plus de 30 ans de l’aîné.

Mais dénicher d’occasion un Orpheus première génération relève de l’exploit. Quant à acheter le HE1 neuf, le prix semble totalement dissuasif.

S’il y a un enseignement à tirer de ce test, c’est que la prodigieuse R&D qui a présidé à la création de ce produit rejaillit directement sur des modèles que le vulgum pecus comme vous et moi peut acheter, et c’est cela l’essentiel. Un ensemble HD820/HDV820 à 4 800 € (tout de même) est une merveilleuse combinaison.

En ce qui nous concerne, savoir si le moderne dépasse l’ancien est un combat d’arrière-garde. En termes de performance pure, c’est évident. Mais la nostalgie a la peau dure, et nous pouvons comprendre que les propriétaires du premier Orpheus n’aient pas envie de l’admettre. Enfin, il faut bien avouer qu’il y a une chance totalement minime pour que les ingénieurs de Sennheiser qui sont tous des petits génies fassent moins bien 30 ans après, et encore moins de chance que la hiérarchie de l’entreprise l’accepte. Tout cela pour dire que le HE1 concourt pour le titre de meilleur casque de la planète. En tout cas, c’est de loin le meilleur Sennheiser jamais créé.

FICHE TECHNIQUE : Casque SENNHEISER HE 1-HP (casques ouverts)

  • Origine : Allemagne
  • Prix : 60 000 €
  • Couplage oreille : 4,3 N ± 0,3 NPrix : 60 000 €
  • Courbe de fréquence : 8 – 80 000 Hz (-3 dB)
  • Réponse en fréquence : 4 – 100 000 Hz (-10 dB)
  • Niveau de pression acoustique maxi : 114 dB SPL
  • DHT : < 0,01 % (1 kHz, 100 dB SPL)
  • Poids : 550 g (sans câble)

FICHE TECHNIQUE : Amplificateur casque à tube HVE1 (amplificateurs de classe A)

  • Origine : Allemagne
  • Prix : 60 000 €
  • Niveau de sortie maxi : 20 dBV
  • Réponse en fréquence : 5 – 110 000 Hz (-3 dB) 3 – 180 000 Hz (-10 dB)
  • DHT : typ. 0,01 % (1 kHz, 6 dBV)
  • Poids : 21 kg
  • Dimensions fermé : env. 434 x 160 x 350 mm
  • Dimensions ouvert : env. 434 x 405 x 375 mm

Paru dans VUMETRE n° 30

VUMÈTRE N°30

7,00 10,00  TTC

Au sommaire de ce VUmètre 30, nous vous proposons, en une, un tutoriel d’optimisation de votre système hifi (principes de base, tutoriel de rodage hifi, astuces de la rédaction et conseils de Jean Hiraga). Pour nos bancs d’essai, nous sommes partis écouter les équipements suivants : TECHNICS SÉRIE R1, AUDIO ANALOGUE AADAC, YAMAHA A-S2200, SENNHEISER HE1, AUDIA FLIGHT FLS9, AURORASOUND HEADA, HIFIMAN DEVA, GOLDEN EAR TRITON THREE PLUS, BEL CANTO E1X, iFI AUDIO iPHONO 3, NAIM ND5 XS2, VIABLUE EP-7 SILVER, et, enfin, CAMBRIDGE CXA61. Retrouvez nos rubriques haute fidélité : Le Jouet, L’Ivresse des sens, notre coup de cœur…

UGS : VUMETRE30
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